Des fois, on sait faire des trucs. Enfin des fois hein .. Et puis comme on n'est pas chien, bah on va vous apprendre à faire les trucs que nous on sait faire. Bon plus sérieusement, le but de cette rubrique est de vous donner des initiations dans divers domaines, ou vous expliquer une technique particulière telle que la brouette japonaise, ou bien la vivisection de tourteau. Si vous voulez partager avec votre prochain un domaine de connaissance, n'hésitez pas à nous faire parvenir vos propositions à: netexit. Ca peut valoir le coup, quand on sait que vous ferez ca gratos, et qu'en plus ca sera super contraignant !! Alors, ca vaut pas le coup peut être ?


Les trucs cachés que Net ExiT ils les ont vus ( LE RETOUR !!)


Le mois dernier Toki nous avait résumé quelques petites manips pour voir les écrans cachés de Windows. Et bien, il a oublié de nous en signaler un bien sympa, chose qui n'a pas échappé à Desp et qui nous propose cette petite manip :

Sous Windows95 version OSR2 (panneau de config., icone system, onglet général : version 4.00.950 B), dans l'économiseur d'écran "OpenGL",taper dans le texte à afficher "volcano" (sans les guillemets): ainsi des nom de volcans aléatoires apparaitront à l'ecran ...

Excellent, si vous en avez d'autres, faîtes comme lui, écrivez nous à netexit@netexit.com.




Linux et Amiga ...Quelques Mots

UNIX : un mot connu, mais si vague...

Il y a quelques semaines, j'ai eu le loisir de feuilleter un polar, "Une peine d'exception", de P. Cornwell. Dans une partie de l'intrigue, la détective fait appel à sa nièce pour résoudre un problème informatique. Extrait du dialogue :

- Je suppose que tu connais le système UNIX, n'est-ce pas ?
- Je ne dirais pas qu'UNIX est un système, tante Kay. C'est comme de parler de la pluie et du beau temps alors qu'il s'agit en réalité d'environnement, lequel englobe le temps et tous les autres éléments de la chaîne.

Ces quelques paroles résument assez bien, à mon goût, le point de vue à avoir vis-à-vis d'UNIX...

UNIX, un mot souvent classé dans le domaine des "grands"...

Il est vrai qu'il n'est pas donné à tout le monde de posséder sa propre station de travail, Solaris, Cray ou autre... Un étudiant lunatique norvégien, Linus Torvalds, muni de cette pensée, a décidé en guise de projet de fin d'études, de faire tourner UNIX sur son 386. Et ce fut un succès.
L'histoire fut longue, et à vrai dire pas trop intéressante. Après que le bébé ait hérité du nom de son papa, Linux a été "adopté" par une foule de développeurs. Depuis, il a acquis une compatibilité totale avec le standard UNIX, et tourne sur compatibles i386, m68k (Amiga et Atari), PowerPC (Macintosh), Sparc, MIPS et DEC Alpha.

Bref, si on passe les détails, tout ça revient à dire que Linux n'est pas une entité en soi, une "curiosité" à part entière, mais bel et bien tout simplement la version d'UNIX pour micro-ordinateurs personnels.

UNIX et Amiga : Un couple qui porte à réflexion...

L'Amiga est doté d'un système d'exploitation fabuleux, c'est bien connu. C'est si bien fait que le système d'exploitation se confond sur bien des points avec le matériel. L'AmigaOS semble être la seule fin évidente de l'architecture interne de la machine...
Un Workbench bien foutu apporte de surcoît une GUI sympa à tout le reste.
Beaucoup d'avantages en somme... Comme celui d'avoir le gestionnaire de système de fichier inclus en ROM, la possibilité d'ajouter des "libraries" sur les cartes d'extension, etc, etc...

Et pourtant, UNIX s'est aussi frayé un chemin dans le monde de l'Amiga. Pourquoi ? Pas du tout parce que c'est "mieux". Comme pour le dilemme WinNT/Linux sur PeeCee, l'AmigaOS et Linux/68k ont chacun leurs propres caractéristiques, avantages et défauts inclus. Comme le dit mon copain Cyril, "tout dépend de ce que l'on en fait."

Les concepts de base d'UNIX

Comme dans la pub de nombreux softs, revient ici le "qu'est-ce que j'y gagne ?"...
La première réponse qui me vient à l'esprit serait que UNIX dans un Amiga l'apparente à une famille plus grande que celle de Mac&PC réunis. Mais c'est la première réponse qui me vient simplement parce que c'est le point de vue d'un newbie à l'Amiga qui, frustré, cherche à se réhausser dans le monde de la micro-informatique. Dieu merci, ce n'est pas le cas de la majorité des Amigaïstes... ;-)

A première approche, un des succès principaux d'UNIX c'est que on trouve des softs pour tout, et gratuitement. Cette gratuité a pour cause et conséquence que la majorité des "petits softs sympa" et de beaucoup d'autres plus gros sont disponibles en code source : c'est à l'utilisateur de le compiler, tout en sachant qu'une compilation réussie garantit un logiciel adapté à sa machine. De plus, l'avantage de code source est que moyennant petites connaissances en C, on a la possibilité de modifier ses programmes, voire simplement de les observer "de l'intérieur".

Un autre de ces succès principaux est que tout ou a peu près tout est configurable. En français, ça veut dire qu'on peu faire n'importe quoi avec son système.
Certains peuvent s'insurger, comme les utilisateurs de Windoze, en disant que laisser tout à la portée de l'utilisateur moyen est dangeureux. Certes, certes, mais l'utilisateur moyen, par excellence, n'est pas administrateur système UNIX, status requis pour avoir le droit de configurer les "zones sensibles". De plus, on trouve des docs pour tout, et on apprend vite ce qui est faisable, à faire ou à ne pas faire. De plus, dans la majorité des cas, toute erreur est récupérable.

Enfin, il faut rappeler que UNIX, par définition multitâche (le vrai multitâche, comme celui de l'Amiga) et multi-utilisateurs, permet d'une part une utilisation simultanée de programmes divers et variés, mais aussi des frontières entre chaque utilisateur du système. Ainsi, selon les règles de base de la protection multi-utilisateurs, UNIX n'autorise l'accès aux fichiers que selon les attributs de ceux-ci, fixés par leur propriétaire et organisé par groupes d'utilisateurs; mais la gestion de la priorité des tâches (droit de telle ou telle tâche de profiter du CPU) se fait bien en entendu en fonction des utilisateurs qui les ont engendrées, ce qui implique - par exemple - que l'utilisateur moyen n'aura pas le loisir de faire tourner son petit programme minable à plus haute priorité que le gestionnaire de mémoire virtuelle... ;-)

Le "Mais...", parce qu'il y en a toujours un...

Les "Mais..." ne sont pas très gros. Malheureusement, il y en a plusieurs...

Tout d'abord, un système UNIX ne survit pas sans administrateur système. C'est lui qui s'occupe de faire avancer le shmilblique. C'est lui qui règle les problèmes. C'est lui qui donne le droit à quelqu'un d'utiliser le système. C'est lui qui installe les softs destinés à utilisation collective. C'est lui qui a contrôle sur tout, en somme : il doit prendre la responsabilité de protéger les éventuelles données confidentielles des utilisateurs, tout en se retenant d'y jeter un oeuil; c'est lui enfin qui se mord les doigts/se suicide parce qu'il a supprimé tout son système de fichiers.
En bref, l'administrateur système doit savoir un peu plus de choses sur sa machine que "l'utilisateur moyen".

Ensuite, tout bon système UNIX qui se respecte, pour faire valoir la règle "on peut tout faire", se trimballe souvent ses quelques milliers de fichiers. Quand on est seul devant, il n'y a pas de problème : à la fois utilisateur et administrateur, tous les fichiers se ressemblent. Mais dès que plusieurs personnes sont devant la machine, souvent l'administrateur veut que certains aient plus de droits que d'autres, et alors les milliers de fichiers en attente de réglages de droits d'accès deviennent "hell's pain". Le pire, c'est que c'est incontournable : plusieurs utilisateurs devant un système non protégé, ça instaure le bordel. Il n'y a qu'a observer chez le copain : papa et maman ne comprennent pas pourquoi Word "se plante", simplement parce que leur petit rejeton s'est offert un CD de sharewares pour son anniversaire...
Encore que... Cet exemple était caractéristique PeeCee, je le reconnais. Mais souvent, devant son Workbench, on a bien envie que le nouveau petit soft xxx débile n'aille pas installer tous ses fichiers de partout... Après, - par exemple encore - on se retrouve avec un LIBS: chargé sans trop pouvoir faire le tri, un peu à la manière du bien-connu c:\windows\system...

Un des trucs incontournables chez UNIX, c'est son apparent manque de convivialité. Hé oui, souvent juste après une installation fastidieuse, on se retrouve devant un écran en mode texte, plus apparenté à du charabia façons ms-dos qu'à une invite sympathique, et alors vient l'envie furieuse de tout éteindre et de revenir à son Workbench bien-aimé.
Triste vérité... UNIX est basé sur le principe des consoles texte, où chacun doit taper commandes et apprendre raccourcis claviers de chaque application, bref où la loi du clavier mène la danse.
Pourtant, après quelques efforts, quelques suées, un peu de mauvais sang, on découvre... UNIX. Et que surtout, rien n'est perdu, il existe une interface graphique. Celle-là aussi c'est un standard : le protocole X. X-Windows pour certains qui le prennent pour un environnement à la manière de Windoze, X-Windows pour d'autres qui le prennent pour l'interface avec son ordinateur, à la manière du Workbench... Mais avant tout, X, encore et toujours un véritable protocole, qui permet à une application de se frayer un passage dans un réseau jusqu'à l'écran graphique (mis en place par un "serveur X") de tel ou tel hôte.
X-Windows est donc une solution pour les nostalgiques de l'écran graphique et de la souris. A vrai dire, c'est assez simple, on y retrouve le système de boutons, de menus, de couper-coller avec presse-papier global, etc, etc, et à première vue ça ne ressemble à rien. ;-) Pourtant, ça reste pratique, et en quelques suées ça s'installe facilement...

Pour finir, le coup de grâce... ;-) Le monde UNIX ne connait qu'une langue : l'anglais. Très peu d'utilitaires ont été traduits, voire aucun, et les seuls éléments disponibles en non-anglais sont certaines docs et les assez "grosses" applications (celle qui ne sont pas gratuites).
La situation est simple : ou on est déterminé à s'adapter, et on apprend l'anglais en quatrième vitesse, ou on laisse tomber...

Différences, avantages et inconvénients d'un système Linux/68k par rapport à l'Amiga "classique"

Comme je l'ai déjà évoqué, il est difficile de comparer carotte et placard.
On peut pourtant essayer de voir les aspects infimes mais essentiels modifiés chez l'Amigaïste par l'arrivée de UNIX dans son fardeau d'expériences informatiques.

  • Déjà dit : Système d'exploitation orienté texte et multi-utilisateurs.
  • Un seul système de fichiers. En effet, dans un système de fichier UNIX, il n'y a qu'un seul disque pour l'utilisateur final. Tout les autres sont "montés" en sous-répertoires du système principal, ce qui permet de passer outre la séparation par volumes. Ainsi, chez moi, Netscape utilise le sous-répertoire "nsmail" de mon répertoire principal, et par paresse je n'ai pas voulu modifier la config quand j'ai décidé de mettre mon mail sur disquette... J'ai donc "monté" mon unité de disquettes dans ce répertoire, et le tour est joué.
  • A peu près tout est considéré comme fichier. Disques, consoles (écrans), souris, joystick, périphériques réseau, modem, etc. sont disponible dans le répertoire "/dev", et on peut leur faire subir les opérations fichiers standards, moyennant droits d'accès bien sûr.
    Par exemple, un administrateur système pourra purger une disquette simplement avec la commande "cat </dev/null >/dev/fd0", ce qui signifie "lire séquentiellement dans le fichier /dev/null (fichier spécial, qui renvoie toujours zéro) et écrire les informations ainsi lues dans le fichier /dev/fd0 (fichier spécial, unité de disquette index 0)". Ou encore "echo "Je ne l'ai pas trouvé" >/dev/tty07", avec /dev/tty07 correspondant à un terminal distant - exemple que j'ai tiré du même "Une peine d'exception" (cf premier paragraphe)...
  • Quelque soient les conditions, un utilisateur UNIX est toujours client d'un hôte du "réseau". Le "réseau" est géré par l'administrateur, bien sûr, mais nombre d'applications utilisent ce concept et échangent des informations avec "un autre hôte" plutôt qu'avec une "autre application".
  • Que ça soit les applications orientés texte ou celles destinée à X-Windows, à chacun son look. Les interfaces n'ont pas de standard, et même si les règles de convivialité sont plutôt respectées, il faut apprivoiser chaque application, et on ne peut facilement deviner comment marche tel utilitaire rien qu'en regardant son apparence. Par exemple, sous X-Windows, certaines applications supporteront le couper-coller de telle manière, d'autres de telle autre. Certaines auront leur barre de menu, d'autrres non. L'une sera verte avec une petite police de caractères, l'autre bleue avec une grande police, bien qu'elles servent à la même chose.
    C'est déroutant, mais ça permet de garder en tête l'idée que chaque application n'est pas membre du "tout", comme chez Microsoft.

Il y a malheureusement trop de différences dans ce genre pour pouvoir en dresser une liste exhaustive. On peut tout de même terminer en citant les caractéristiques les plus intéressantes d'un système Unixoïde face au standard AmigaOS :

  • UNIX est un environnement de développement/programmation idéal.
  • UNIX est un outil parfait pour découvrir la gestion de réseaux.
  • On trouve des docs sur tout, partout.
  • UNIX porte le label "stabilité" requis par les stations de travail de grande envergure. (enfin, ça c'est pour la frime...) ;-)

UNIX c'est beau, mais ça ne marche pas tout seul.

En effet, comme tout système d'exploitation, UNIX a besoin d'un ordinateur en guise de support. La configuration strictement minimale pour Linux/68k (le "minimum" de la vignette "configuration minimum" de Windows95) est un MC68020 accompagné d'une MMU, tout cela raccordé au chipset OCS et accompagné de 1Mo de ChipRAM et 2Moi de FastRAM. Pour l'installation/démarrage, un lecteur de disquettes ou un lecteur de CD-ROMs digne de ce nom est recommandé. ;-)
Ensuite, la configuration réellement recommandée est un 68030 tournant à 15MHz, doté de 2Mo de ChipRAM et de 4Mo de FastRAM, et accompagné d'un disque dur. Pour une utilisation banale et pour l'exemple, je m'en sort moi-même très très bien avec 575Mo de disque réservés à Linux.

Pour finir en beauté...

UNIX est un système d'exploitation. En tant que tel, il permet d'exploiter le matériel, et particulièrement bien. Suffisament en tous cas pour que celui qui ne regarde que son écran et son clavier puisse ignorer totalement sa configuration matérielle. Le monde UNIX, une fois mis en place, forme un ensemble qui passe outre fiabilité et performances, ce qui signifie à peu de choses près que la simple apparition de "login:" à l'écran au démarrage implique que tout le reste suivra...

Raph





FAITES VOS PAGES HTML VOUS-MÊME

Vous voulez faire vos propres pages HTML .... mais vous pensez que vous n'en êtes pas capable ....Détrompez vous .. l'HTML n'a rien de compliqué et je vais essayer, dans les pages qui suivent, de vous enseigner les bases de l'HTML


INTRODUCTION : Comment faire des pages HTML sans devoir passer par des programmes dédiés ??

Petite précision avant de commencer : l'HTML n'est pas de la programmation !! Il faut distinguer programmation et script. La programmation (exemple C ou asm) crée un exécutable à partir d'un code source. Le code source n'est nécessaire que pour la compilation du programme. Dès que le code source est compilé le programme existe sous forme, généralement, d'un exécutable (exe, com) alors que l'HTML sera interprété par un programme prévu pour (Netscape, Internet Explorer, Mosaic, ..) et, à chaque chargement de la page, le code HTML sera réinterprèté par le programme. vous avez compris la différence ??
cela dit .... la plupart des personnes (moi y compris) parleront de programmation ... c'est plus compréhensible pour les personnes non-initiées au langage de l'informatique :)

L'HTML est un ensemble de 'tags' , c'est à dire de mots clés qui serviront au programme (bon je choisis Netscape et on n'en parle plus) donc un ensemble de tags qui permettront a Netscape d'afficher le texte, les images, ou même du son d'une certaine manière que vous aurez définie.Donc.. plus simplement, pour faire une page HTML vous devez taper le texte que vous désirez puis a l'aide des tags vous modifiez l'apparence du texte, vous ajoutez des images, vous reliez vos pages entre elles ,etc...

Il y a deux type de tags différents : ceux qui modifient l'apparence du texte (la couleur, le style, la taille) et ceux qui servent à ajouter un petit plus à votre page (exemple des sauts de ligne , des lignes de séparation, des images,des sons,....)

En général les tags qui modifient l'apparence du texte sont composé de deux parties une qui se place avant le texte a modifier et une qui se place apres pour cloturer la modification

Pour développer vos pages vous avez besoin de deux choses : un éditeur de texte (le bloc note de windows est parfait pour ça) et un navigateur web pour visionner le résultat de vos pages .... je vous conseille Netscape Navigator version 2 ou 3
(vous pouvez prendre internet explorer de microsoft mais bon ..... c'est vous qui voyez :))



PREMIERE PARTIE : Les bases de l'HTML

qui dit base dit théorie :)) donc voici les trois tags nécessaire à la création de votre page ainsi qu'une petite description de leur fonction.

remarque les tags sont facilement reconaissables car ils sont tous entourés de < > donc .. quand vous éditez une page HTML vous pouvez les reconnaître sans aucun problèmes.

le premier et le plus simple : <HTML> qui se place en début de document et le </HTML> qui lui se place en fin de document il contiendra donc tout le code de la page pour simplifier vous placez <HTML> au début et </HTML> à la fin et entre les deux vous mettez votre code HTML.

le second : le tag <HEAD> </HEAD> ce tag sert à définir la 'tête du document' il contiendra diverses informations notemment le titre de votre page (celui qui serra affiché dans la barre de titre du navigateur)

le troisième : <BODY> </BODY> celui ci sert a marquer le corps de votre document c'est à dire tout ce qui apparaitra dans la fenêtre du navigateur. Il accepte différents paramètres qui seront expliqués plus tard dans une autre partie car il ne sont pas indispensable a la creation de votre page

donc la structure de la page donnera :

<HTML>
<HEAD>
</HEAD>
<BODY>

ici le texte de votre page

</BODY>
</HTML>

bien maintenant voyons comment mettre un titre a votre page il suffit tout simplement d'utiliser le tag <TITLE> </TITLE>
et dans ce tag vous tapez le titre de votre page

exemple : <TITLE> Ceci est ma premiere page HTML </TITLE>
et vous placez ce tag dans le tag <HEAD> (c'est à dire, pour ceux qui n'ont pas compris, entre <HEAD> et </HEAD>)

pour entrer du texte dans votre page, il vous suffit de le taper dans le tag <BODY> comme vous voulez qu'il aparaisse comme dans votre traitement de texte par exemple ........ mais .... attention ........ si vous voulez faire un retour à la ligne il ne suffit pas d'appuyer sur la touche enter de votre clavier, en effet, netscape ne tient compte que de ce qui est compris entre des <> pour modifier l'apparence du texte donc pour ajouter un retour a la ligne il faut ajouter a la fin de la ligne voulue le tag <BR> celui ci fait executer un saut de ligne au navigateur ........

Vous ne comprenez pas ? rien ne vaut un exemple dans ce cas

ouvrez le bloc note et entrez ce qui suit : (utilisez la fonction copier/coller si vous voulez)

-----debut du code a taper---------------------------------

<HTML>

<HEAD>

<TITLE> exemple de l'usage du tag BR </TITLE>

</HEAD>

<BODY>

voici un exemple

de ce que vous obtenez

si vous utilisez juste la touche enter

<br> <br>

voici un exemple <br>

de ce que vous obtenez <br>

en insérant le tag BR <br>

</BODY>

</HTML>

----- fin du code a taper ---------------------------------

ensuite sauvegardez la page sous le nom test.htm

N'OUBLIEZ PAS L'EXTENSION .htm !!! car le bloc note sauvegarde les documents avec l'extension txt par défaut

ensuite avec votre navigateur préféré chargez la page test.htm et regardez le résultat avec et sans <BR>

maintenant pour sauter plusieures lignes ... il suffit de mettre plusieur <BR> l'un derrière l'autre

<br><br><br> par exemple ceci sautera trois lignes

voila avec ça vous devez être capable de créer votre première page HTML .... elle ne sera pas très belle mais le but ici n'est pas d'obtenir une page superbe, en couleur, avec de belles photos de vos vacances, mais plutot de vous faire comprendre comment l'html fonctionne, j'espere y avoir reussi ....

DEUXIEME PARTIE : Mettre votre texte en valeur

il existe de nombreux moyens de mettre votre texte en valeur vous pouvez le souligner le mettre en gras ou en italique voire même changer sa couleur l'agrandir ou bien le rétrécir de même vous pouvez le barer

vous pouvez aligner le texte a gauche

l'aligner au centre

et même à droite

et il est évidemment possible de combiner tous ces différents moyens de modifier le texte .....

allons y :)

1) pour souligner du texte : il suffit d'entourer le texte a souligner par le tag : <u> </u>

exemple : cet exemple se code comme ceci <U> cet exemple se code comme ceci</U>

2) pour le mettre en gras : il suffit d'entourer le texte par le tag : <STRONG> </STRONG>

3) pour mettre le texte en italique : on entoure le texte avec le tag : <EM> </EM>

4) pour changer la couleur et la taille on utilise le même tag : <FONT></FONT>
ce tag s'utilise de la manière suivante :
<FONT COLOR="#008000"> ensuite le texte dont vous voulez changer la couleur</FONT>
pour changer la taille : faire <FONT SIZE="_TAILLE_"> </FONT> ou taille est un chiffre entre 1 et 7
vous pouvez évidemment changer la taille et la couleur en même temps la on obtient :
<FONT SIZE="7" color="#FF00FF"> test de couleur et de font</FONT>

test de couleur et de font
pour les couleurs .... la couleur s'obtient de la manière suivante :
#123456 represente la couleur 12 est une valeur de rouge (elle varie de 00 a FF hexadécimale) 34 est une valeur de vert 56 est une valeur de bleu donc en modifiant séparement ces trois parties de la couleur vous pouvez changer la couleur à l'infini :))
Voici deja quelques couleurs
#FFFFFF = blanc
#FF0000 = rouge
#000000 = noir
#0000FF = bleu
#00FF00 = vert
je vous conseille un petit programme sympa .... il s'apelle color assist et il vous permet de créer simplement vos couleurs sans vous creuser la tête vous n'avez plus qu'a clicker pour changer les valeurs de rouge,bleu et vert et a noter la valeur de la couleur obtenue.... vous pouvez le trouver sur : ftp.winsite.com

5) pour barrer le texte : entourez le texte a barrer du tag : <STRIKE> </STRIKE>

6) pour aligner le texte a droite , gauche ou au centre utilisez le tag <P> </P>
de la manière suivante : <P ALIGN="LEFT/RIGHT/CENTER"> texte à aligner</P> vous devez evidemment choisir un seul type d'alignement :))

7) vous pouvez changer la couleur du texte sur l'entièreté de la page en ajoutant un parametre au tag <BODY>
de la manière suivante <BODY bgcolor="#FFFFFF" text="#000000"> ou text représente la couleur du texte et bgcolor la couleur du fond de l'écran donc pour avoir un ecran avec des caracteres verts sur fond noir vous mettez : <BODY BGCOLOR="#000000" TEXT="#00FF00">

voila .... vous pouvez maintenant réaliser des pages de plus en plus compliquées... Rendez vous le mois prochain pour faire des pages encores plus belles et plus mieux :))



Noshidjo

WINNUKE


Jusqu'où vous planterez vous ? Cela pourrait être le nouveau slogan de Microsoft, et d'ailleurs il commence à fleurir sur tous les sites anti Microsoft du web. En effet, un nouveau bug vient d'apparaître, et celui la est plutôt de taille puisqu'il peut vous planter la machine, le principal effet étant un magnifique plantage, vous savez les magnifiques fond bleu avec des données incompréhensibles, dont la seule solution est en général un redémarrage pur et simple. Comme vous l'avez compris ca peut donc entraîner la perte de tout ce que vous faisiez a ce moment la. Comme ce bug est lié au protocole TCP/IP, dont vous auriez du avoir la présentation si j'avais pas perdu l'article de Wolfgane sous le pont de l'Alma, c'est donc toutes vos activités sur Internet qui sont en périls tel que IRC, FTP, TELNET, etc... Alors comment que cela se fait-il donc alors hein ? C'est ce que je vais vous faire montrer tout de suite la maintenant.

Le Winnuke comment ca marche ?

Cette pratique est apparu en novembre 1996 mais les sources n'ont été disponible que le 10 mai 1997. Et ce n'était pas une usine a gaz puisqu'il fallait a peine moins de 80 lignes de codes pour planter définitivement une machine Microsoftienne quelque soit son système d'exploitation.

Le principe est le suivant : Lorsque vous êtes connectes en TCP/IP sur un réseau, votre protocole peut générer des "ports" virtuels, certains étant réservés pour des activités précises ( ex : le port 25 des serveurs SMTP de mail) et d'autres étant libre. Un client n'a qu'a communiquer avec le port qui l'intéresse, et les données sont tout de suite comprise et interprétée comme il se doit. Et bien sous les produits Microsoft, le port 139, qui d'habitude sert à effectuer des contrôles sur le réseau, et qui répond au doux nom de Netbios, semble avoir quelques petits problèmes lorsqu'on lui envoie la chaîne de caractères "bye" en utilisant le OOB.

Le OOB qui signifie Out Of Band est un procédé qui permet d'affecter des priorités supérieures à des paquets d'informations. Il suffit pour cela de mettre un flag msg_oob lors de l'envoie de données sur le réseau avec la commande SEND. Lorsque Windows reçoit sur son port 139 la chaîne "bye" possédant le flag OOB, alors patata, c'est la panique a bord, vous venez de vous faire nuker.

Je peux faire ca moi aussi ?

Oui. Il suffit d'avoir un programme qui enverra la séquence "bye" sur le port 139. J'ai volontairement inclus quelques fichiers permettant la manip, non pas pour que vous éclatiez tous vos petits copains, mais pour que vous testiez les effets sur vous. Lorsque vous allez essayer, pensez à fermer tout ce que vous faisiez, histoire de pas perdre 15 jour de travail. Pour tester, entrez votre adresse IP, que vous aurez obtenu en lançant le programme winipcfg fourni avec Windows. Ensuite, cliquouillez sur Nuke, et appréciez le résultat. Un simple redémarrage remettra tout en place. Il est clair que nous déclinons toute responsabilité pour les conséquences de ce que vous pourriez faire avec ces softs. Et justement, pour éviter que toutes sortes de bouffons nukent dans tous les sens, voici le patch pour Windows 95 qui corrigera le problème. WINUKE.ZIP (93 Ko)

Sortez patché

Pour éviter de s'en manger plein la tronche a longueur de journée, une seule solution : le patch. Une fois installé sur la bécane il permettra de bloquer le port 139 a ce genre de petite blague. Deux sortes de patches existent : Ceux qui changent la base de registre pour bloquer le port, et ceux qui surveillent le port et modifient les fichiers systèmes. Dans les 2 cas c'est efficace et vous devriez éviter toutes les mauvaises blagues.

FIXOOB.ZIP (3 Ko): Patch passif
NONUKENETBIOS.ZIP (144 Ko): Patche actif

Tous les fichiers sont documentés en anglais et ne devraient pas vous poser de problêmes...

Voilà, vous pouvez de nouveau surfer en toute sécurité, et passer nous voir sur irc sur le channel : #netexit

Fabinou