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Je rappelle que vous pouvez passer vos coups de gueules via nos pages, pour cela, il suffit de nous faire parvenir vos baffouilles par email, et si c'est sympa, on se fera un plaisir de les passer ici. Et je dis pas ca parce que je suis énervé !!! Ils appellent ça le "dernier kilomètre". Le labyrinthe du réseau des télécommunications qui relie maisons et bureaux aux grands axes nationaux est traditionnellement la partie la plus lente du réseau téléphonique. Et c'est aussi la plus chère. C'est à propos de ces quelques centaines de mètres, surnommés "la boucle locale" (local loop), que les vieux monopoles des opérateurs téléphoniques européens se dressent une dernière fois, affrontant la nouvelle génération de compagnies privées qui essayent de capturer le marché libéralisé des telecom en Europe. Changer les lois est une chose. La somme que doivent payer les nouveaux opérateurs pour se brancher sur le réseau national en est une autre. A moins que les tarifs - connues sous le nom de "taxes d'interconnexion"- soient assez bas, il est peu probable que les opérateurs rivaux survivent, et le consommateur a peu de chance de voir sa note de téléphone aujourd'hui surfacturée diminuer de quelque façon. En Grande-Bretagne, British Telecom, l'opérateur privatisé, facture à ses concurrents 0.86 pence (** francs) pour connecter des appels à son propre réseau. Ceci est bien en dessous du taux moyen européen, ce qui s'explique par l'antériorité de la dérégularisation en Grande-Bretagne, opérée il y a plus de 10 ans. Mais c'est encore trop élevé, selon la plupart des concurrents de BT. Oftel, le puissant régulateur des telecoms britanniques, annonce que d'autres opérateurs, comme Mercury (filiale de Britain's Cable & Wireless) et Energis (dépendant de la National Grid, réseau de distribution de l'électricité au Royaume Uni) ont payé en moyenne 27 % de leur recettes en taxes d'interconnexion. Dans un tel environnement, il devient difficile d'offrir une alternative concurrentielle, qui doit tabler sur un service amélioré et surtout une facture moins élevée pour le client. Unisource, le consortium qui réunit des opérateurs qui détiennent, ou ont détenu, le monopole dans des pays tels que la Suède, la Suisse et les Pays-Bas (voir prochain article), se bat avec Mannesmann en tant que partenaire pour se partager le marché en Allemagne, et comme nouvel opérateur dans 16 pays européens. Paul Smits, le Président d'Unisource, déclare dans une interview à "The European" du 14 Août :" Pour nous, nouveau venu sur ces marchés, il est impératif et vital de toucher le client en lui proposant des tarifs concurrentiels. Nous avons notre propre réseau en Europe, mais pour le dernier kilomètre, nous devons utiliser l'interconnexion aux opérateurs "historiques". L'interconnexion peut faire et défaire le marché, c'est pourquoi c'est de la plus haute importance à nos yeux." M. Smits déplore la tournure de la privatisation en France, en Allemagne et en Espagne. En effet , tous les opérateurs dominants - France Telecom, Deutsche Telekom et Telefónica contrôle injustement les réseaux nationaux de télévision câblée, coupant ainsi la route alternative vers les particuliers. Les tarifs pratiqués par France Telecom sont considérés comme modérés selon les standards européens. Les opérateurs concurrents payent à France Telecom une moyenne de 0.14 FF par minute. Retevisión, le nouvel opérateur espagnol doit payer à Telefónica environ 0.21 FF par minute. En Allemagne, Deutsche Telekom a proposé des tarifs qui devraient être trois fois plus élevés que ceux pratiqués en France. Les rivaux de Telekom, Mannesmann Arcor, o.tel.o et Viag Interkom avouent que de telles conditions leur rendraient extrêmement difficile de survivre dans le marché du résidentiel. Le Commissaire Européen de la Concurrence dirige actuellement une enquête concernant l'alliance de Telefónica et BT. Unisource menace d'attaquer en justice France Telecom pour l'augmentation de ses taxes. Richard Kee, analyste des telecoms à l'agence d'économétrie Ovum, à Londres, et auteur d'un rapport sur les taxes d'interconnexion à paraître en Septembre, affirme qu'il y a un lien évident entre les taxes d'interconnexion et la somme facturée au consommateur. "De lourdes taxes peuvent tuer tout opérateur privé". Il est vrai que les tarifs proposés par Deutsche Telekom sont prohibitifs pour ses concurrents. Malheureusement, il y a peu de chance que la Commission Européenne tranche. Il est plus probable, toujours selon Richard Kee, que celle-ci laisse les choses reposer pendant quelques années avant de statuer. Le régulateur national n'offre pas plus de solution. Wolfang Bortch, ministre des postes et telecom allemands, et régulateur jusqu'à la fin de l'année, menace Telekom d'une amende d'1 Million de DM (3.5 Millions FF) si aucun arrangement n'est trouvé avant la fin de l'année, bien que la deadline était le 1er juillet. Les opérateurs privés devront, pour se faire entendre, aller devant les tribunaux nationaux, la Cour Européenne de justice, voire le WTO, et cela peut prendre des années. Mais sans lutte, les taxes d'interconnexion resteront bien au dessus du coût réel, et les consommateurs seront forcés d'en supporter les conséquences. Titus Steeve, t'es vraiment qu'une purge...![]() ![]() ![]() A la question: " Mais comment faisait-on sans TAM TAM ?", Net ExiT a la réponse : "PERSONNE NE NOUS CASSAIT LES COUILLES ET C'ETAIT PEINARD !!". Bah ouais quoi, notre patron pouvait pas nous joindre, notre copine pouvait pas nous contacter pendant le poker avec les potes, le pied quoi.. Et je dis pas ca parce que je suis enervé !! [ On se fout de notre gueule !!! ] Microsoft : Jusqu'où iront-ils ??? Je ne suis pas du genre à privilègier un programme plutôt
qu'un autre quand ils se valent. Je m'explique. Comme tous ceux qui font
leur site web, j'avais décidé de faire, sur la page de bienvenue,
un lien vers Netscape Navigator et Internet Explorer(®tm©$a+b=c)
(je crois que tout y est). Je vais donc chez Netscape, copie le
logo "Au tour d'Explorer(®tm©$a+b=c)", me dis-je plein de fougue et d'entrain. Un coup de Navigator (moi, je préfère Netscape) et je surfe jusque sur la page de Micro$oft France dans l'espoir d'y récuperer le précieux insigne (mais peut-être que j'en fait un peu trop là). Arrivé sur les lieux, je fouille histoire de voir s'y une quelconque page est prévue pour me remercier (du style : "Cher Vous, vous désirez intégrer un lien de votre page vers notre fabuleux browser, nous vous remercions de votre démarche, le sigle est là, "copier/coller" le et allez en paix, mon Ami")... Tu parles... Voilà sur quoi je tombe...
Microsoft : Toujours plus fort.
Reformed
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